1761-08-28, de Hans Stanley à Voltaire [François Marie Arouet].

Monsieur,

C'est au père de la tragédie françoise que j'ai voulu rendre mes faibles hommages: je suis charmé de les voir approuvés par le plus digne de sa postérité poétique.
Je suis bien intéressé à croire avec vous que les génies supérieurs appartiennent à [t]outes les nations. J'adopte avec empressement cette idée, puisqu'elle m'autorise à réclamer Voltaire pour compatriote.

J'ai l'honneur d'être, &c.

H. Stanley