[? September 1760]
Mon cher prêtre de Baal, moy israélite de Juda, je ne connais la Mayer que parceque son mari m'a bu 800lt, et vous ne connaissez point la Mayer.
Je donne une rente à votre hôpital, qui doit avoir soin de vos Mayer. Cependant mon cher prêtre, dès que vous parlez nous sommes tout deux de la même relligion.
Vous n'avez pas voulu ou vous n'avez pu m'amener votre prêtre arien. Vous autres hérétiques, vous êtes rétifs, incommunicatifs. Dites à vos prêtres de Genève qu'ils se défassent de ce roide et de ce sec qu'on leur reproche, et qu'ils prennent vos mœurs aimables.
V.