1759-12-22, de Voltaire [François Marie Arouet] à François de Chennevières.

Mon cher correspondant les évêques ne veulent dont point faire du bien parce que les gens du monde en font.
Voilà de plaisantes maximes. Vous aurez une pension à condition que vous serez malheureuse? Plaisante charité.

Je compte que l'année 1760 sera heureuse. Dieu nous a donné d'amples récoltes. La ma͞l de Broglie nous donnera des te Deum et le plus beau de tous sera celuy de la paix. Je recommande les incluses à vos bontez.

V.