1757-11-21, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

La nièce va mieux, elle et l'oncle remercient tendrement m. et madame Tronchin.
Je ne sais encore que la nouvelle que vous savez: un lieutenant général tué, quatre blessés et prisonniers, le duc de Brissac blessé dangereusement, toute l'artillerie perdue, toute l'armée dispersée et poursuivie; on ne sait malheureusement ce qu'est devenu le cuisinier de m. de Soubise.