1755-02-09, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jacob Vernet.

Mon cher monsieur, ce que vous écrivez sur la religion est fort raisonnable….
Je déteste l'intolérance et le fanatisme, je respecte vos lois religieuses…. J'aime et je respecte votre république…. Je suis trop vieux, trop malade, et un peu trop sévère pour les jeunes gens. Vous me ferez plaisir de communiquer à vos amis les sentiments qui m'attachent tendrement à vous.

Voltaire