1754-11-11, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Frédéric Flachsland.

Je suis bien fâché monsieur de partir de Colmar sans vous être venu voir à Riquevir. Je vous demande la continuation de votre amitié et je vous prie d'être persuadé de la mienne. Je compte que vous aurez toujours la bonté de vous adresser à mr de Turkeim à votre loisir. Je pars en vous assurant des sentiments avec lesquels j'ay l'honneur d'être monsieur votre très humble et très obéisst serviteur

Voltaire