1754-11-10, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Defresnay.

Je n'ay que le temps de vous témoigner mes regrets, et de dire à l'aimable père de Nicette que je pars avec la douleur de ne l'avoir point assez vu et de n'avoir point vu sa fille.
Je suis encor plus affligé de n'avoir pu prendre congé de madame Dufrenai. Adieu, je pars dans l'espérance de vous dire encor à Strasbourg combien je vous suis dévoué.

V.