1754-03-12, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Augustin Feriol, comte d'Argental.

…Je ne reproche point à ma nièce de m'avoir fait venir en France, je lui dis que je me déterminerai à y venir pour vous et pour elle….
Si ma nièce était tourangeote, j'irais vivre à Tours avec elle; si elle était limousine, j'irais lui consacrer ma vie à Limoges; mais elle est parisienne, elle aime à recevoir du monde…. Paris lui est plus nécessaire que jamais, il serait inhumain de lui proposer un exil. Mon malheur ne doit tomber que sur moi….