[25 March 1753]
Frère, je prends congé de vous; je m'en sépare avec regret; votre frère vous conjure en partant de repousser les assauts du démon qui voudrait faire, pendant mon absence, ce qu'il n'a pu faire quand nous avons vécu ensemble: il n'a pu semer la zizanie.
J'espère qu'avec la grâce du seigneur frère Gaillard ne la laissera pas approcher de son champ. Je me recommande à vos prières et aux siennes. Elevez vos cœurs à dieu, mes chers frères, et fermez vos oreilles aux discours des hommes; vivez recueillis, et aimez toujours votre frère.