1771-03-22, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Augustin Feriol, comte d'Argental.

Le vieux malade aveugle envoie à ses anges une Sophonisbe toute musquée.
S’il prend congé de la compagnie

C’est ainsi qu’en partant il vous fait ses adieux.

Il recommande à vos charités sa dernière fille.

On lui mande que ceux qui ont si joliment accommodé le chevalier de La Barre et le Comte de Lally pouraient bien revenir.

Tâchez qu’il ne meure point avec ce déboire.