1751-12-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à conte Francesco Algarotti.

Je pars demain, très aimable comte, à six heures du matin.

Si le cœur vous en dit, je vous offre un bon fond à côté du conseiller privé, que le devant incommode, car je ne vous conseille pas de dépenser 10 écus pour aller et venir; voyez si vous voulez qu'on aille vous prendre à cette heure.

Serez vous prêt?

Veuillez dire oui. Nous reviendrons seuls. Darget reste pour ses yeux. Bonsoir vous disent le cousin et la cousine.