1751-04-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à Baron Friedrich Wilhelm von Marschall.

Vous m'enchantez monsieur par vos bontez.
Vous m'aidez à bâtir un grand édifice. Les moindres matériaux servent, et vous daignez m'en prêter qui me sont très nécessaires. J'en auray le soin que je dois. Je vous remercie de tout mon cœur, et je vous renouvelle les assurances de l'attachement le plus inviolable.

V.