1750-08-28, de Louis Philoxène Brulart, marquis de Puisieulx à Voltaire [François Marie Arouet].

Le Roy qui est toujours M. également empressé à se prêter à tout ce qui peut être agréable à Sa M. Prusse consent très volontiers que vous passiez à son service.

Je suis fort aise en mon particulier d'avoir eu l'occasion de seconder les désirs que je vous connois de vous attacher à un Prince qui vous honore de tant de bontez. Je suis très parfaitement M. Votre &c.