1778-02-02, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Henry Chrétien Rosé.

Messieurs de la Régence de Montbelliard, Monsieur, m'ont flatté que je recevrais de vous les quinze mille sept cent cinquante Livres qui me sont dues.
Mais je ne veux point vous gêner. Je suis d'ailleurs obligé de faire un voiage à Dijon pour un procez considérable de ma famille. Je vous écrirai à mon retour pour prendre avec vous les arrangements convenables.

J'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire