1774-01-04, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Henry Chrétien Rosé.

Mes derniers arrangements, Monsieur, avec Messieurs de la Régence de Montbelliard, me mettent dans la nécessité d’avoir recours à vous pour le dernier quartier qui vient d’échoir.
Si vous n’avez pas d’argent comptant, et si vous voulez me donner des lettres soit sur Lyon soit sur Paris à courts jours, je les recevrai volontiers.

Je suis, Monsieur, bien véritablement, vôtre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire