1773-11-19, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Joseph Meiner.

Je vous prie instamment, Monsieur, de vouloir bien me païer le quartier de ma rente échu le dernier septembre, je n’ai guère pour subsister que mes revenus sur les terres de Montbelliard, je me flatte que vous aurez égard à ma situation, je vous serai très obligé.

Je suis, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.

Voltaire