1772-12-07, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

Je prie instamment Monsieur Tronchin de me garder le plus profond secret sur Minos, et de me renvoier les feuilles sans en parler à personne.
On ne jouera la pièce qu’au mois de janvier. Tout serait perdu s’il en transpirait quelque chose avant ce tems là.

Mes obéissances très humbles à Monsieur et à Madame Tronchin.

V.