1772-11-02, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Claude Marin.

Mon cher ami, Mr de Morangiés m’intéresse de plus en plus.
Je serais bien attrapé s’il était coupable le moins du monde dans cette maudite affaire. Je vous prie de lire ce que je lui écris, et de le cacheter.

Mr L’abbé Mignot vous fait bien des compliments. Il pense qu’on doit rendre les probabilités très publiques.

Nous perlerons une autre fois de Ninon et de Minos.

Avez vous le tems de vous amuser?

Vraiment je vous remercie bien de m’avoir fait connaître aux Déesses, quoi qu’un vieil hermite soit bien indigne de leurs bontés.