[July 1771]
Le vieux malade présente ses respects à madame Galatin.
Il n’a l’honneur de connaitre M. le comte d’Aranda que par l’entremise et par les bontez de monsieur l’ambassadeur de France. Il n’est aucunement en relation avec ce premier ministre. Il se croirait trop heureux de servir mr de Gorani, mais un vieux moribond n’est bon à rien.