1771-01-22, de Marie Louise Denis à Marc Duval.

Quoi que je sache Monsieur que les recomendations sont inutilles auprès d’un juge aussi éclairé et aussi intègre que vous, je prands la liberté de vous prier de bien examiner l’affaire de Landri.
Il a affaire à un nommé Rafo qui avait malheureusement acheté une maison dans notre vilage et qui a ruiné en procès tous ses voisins. Je saisis avec empressement cette occasion pour vous renouveller les assurances de l’inviolable attachement avec le quel j’ai l’honneur d’être

Monsieur

Votre très humble et très obbéissante servante

Denis

Permettez moi de faire mille tendres complimens à Madame Duvale.