1769-01-20, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Je vous prie, mon cher correspondant, de vouloir bien dire à Mr Tabareau combien je m'intéresse à sa santé, et d'avoir la bonté de m'en aprendre des nouvelles.
Il est bien étrange que les jésuites aient encor un parti à Lyon. Il y a des gens qui voudraient que le dernier jésuite eût chassé le dernier oratorien; mais ces gens là ont l'esprit trop dur.

Le solitaire vous embrasse de tout son cœur.