à Geneve le 1 fév. 1768
Je reçois dans le moment m. la réponse de m. le d. de Choiseul sur la Commission des sels du Valais.
Elle n'est pas satisfaisante. La voici mot pour mot:
‘Depuis &c.’
Je suis très fâché de cette décision à la quelle cependant j'avois lieu de m'attendre.
Que dites vous des gentillesses de nos Représentans? Je voudrois bien qu'on se hâtât de songer à Versoix. C'est le plus sûr moyen de mortifier des gens qu'on ne veut pas écraser.
J'aurai l'hr de vous voir demain à moins de quelque incident que je ne prévois pas.