1768-02-01, de Pierre Michel Hennin à Voltaire [François Marie Arouet].

Je reçois dans le moment m. la réponse de m. le d. de Choiseul sur la Commission des sels du Valais.
Elle n'est pas satisfaisante. La voici mot pour mot:

‘Depuis &c.’

Je suis très fâché de cette décision à la quelle cependant j'avois lieu de m'attendre.

Que dites vous des gentillesses de nos Représentans? Je voudrois bien qu'on se hâtât de songer à Versoix. C'est le plus sûr moyen de mortifier des gens qu'on ne veut pas écraser.

J'aurai l'hr de vous voir demain à moins de quelque incident que je ne prévois pas.