1767-01-02, de Voltaire [François Marie Arouet] à Gabriel Cramer.

Caro, je vais je crois partir.
J'ay payé hier trois cent cinquante louis, je donnerai les cinquante qui me restent. Il n'a qu'à venir les chercher chez moy, ils seront prêts à diner demain samedy. J'ay à lui parler. Je passerai par Berne pour aller chez mr l'ambassadeur.

Je ne sçais ce que c'est que la sentinelle de mylord Abington. Mandez moy donc des nouvelles.