[c. 15 February 1759]
Mon secrétaire qui n'était pas instruit a mandé que je payerais le centième denier en temps et lieu du marché fait avec M. le président de Brosses si les ordonnances du roy l'exigent.
Mais m'étant informé des ordonnances j'ay sçu que L'on ne doit point le centième denier pour un bail à vie, encor moins pour une réparation de châtau. Je prie Mr Girard de ne me point faire de frais, et de vouloir bien me faire tenir copie des ordres de sa majesté aux quels on doit se conformer. Je luy serai très obligé. J'ay l'honneur d'être son très humble et très obéissant serviteur
Voltaire gentilhome orde du roy