1753-07-15, de Graf Franz von Freytag à [unknown].

Vous verrés, Monsieur, par la lettre et l'écrit cy joint ce qu'on peut dire de vous à Paris.
Il importe à votre honeur et à celui du monarque que vous représentéz comme son ministre de faire cesser des bruits injurieux. Vous avés sans doute des correspondans à Paris et sa majesté Prussiene y a des ministres et des agents que vous pouvés informer de la manière dont les choses se sont passées, et les gazettes sont encore une voye plus promte.