31e Xbre 1770, à Ferney
J’embrasse Monsieur Tabareau tendrement et douloureusement.
Nous avons fait tous les deux la plus grande perte que nous pussions faire. Je ne sais pas si on a nommé de nouveaux ministres. Je ne sais rien. Je prie Monsieur Vasselier de m’instruire. Sa dernière Lettre est charmante.
V.