1770-10-05, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Henry Chrétien Rosé.

Je vous suis très obligé, Monsieur, mais je vous assure qu’on ne trafique point ainsi au pair des Lettres de change à Geneve, et que je suis obligé de les envoier à Paris par des correspondants, et de paier une provision. Mais je suis très éloigné de vouloir vous gêner, et je m’en remets à vôtre bonne volonté et à vos arrangements. J’ai l’honneur d’être, Monsieur, Vôtre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire