1768-05, de Voltaire [François Marie Arouet] à Étienne Salomon Reybaz.

Je n'ai reçu, Monsieur, vôtre Lettre du 29 avril que ce matin en m'éveillant.
Je suis très malade dans mon lit. Je n'en recevrai pas moins la visite de Mr Campbel avec une sensible reconnaissance. Je vous prie de présenter mes compliments à vôtre élève.

J'ai l'honneur d'être avec tous les sentiments que je vous dois, Monsieur, vôtre très humble et très obéissant serviteur.

Voltaire gentilhome ord. de la chambre du Roy &c