1767-09-13, de Voltaire [François Marie Arouet] à Louis Gaspard Fabry.

Voylà les permissions de manger, expirées.
V. les renvoye à Monsieur Fabri, luy présente ses très humbles obéissances et remerciments, et le supplie de vouloir bien faire renouveller ses pancartes. Il est malade comme un chien, et souhaitte meilleure santé à M. Fabri qu'il aime de tout son cœur.