[February 1767]
Si vous venez diner aujourd'huy mercredy chez les solitaires, mon cher ami, apportez votre tragédie Scithe afin qu'on la farcisse des changements que nous avons faits et qu'elle puisse servir pour le souffleur.
Vous voilà enfoncé dans le théâtre jusqu'au cou. Dieu soit béni, cela est plus agréable que des listes de représentants. Je vous embrasse.
V.