[31 December 1766]

Voilà qui va bien, mon cher Caro, pour vôtre édition; et tout ira bien pour vôtre république.
M^r l'ambassadeur couche encor ce soir chez moi.

J'ai beaucoup corrigé aux dernières feuilles. Je vous prie de les revoir avec la plus grande attention, car on ne peut plus les raporter chez moi. Je compte que vendredy vous pourez envoier vendredy deux exemplaires couverts de satin cramoisi à m^r le duc de Choiseuil, et deux à m^r le duc de Praslin; et à moi une douzaine brochés.