[February 1764]
On dit que mon cher Caro a le plus gros visage du monde.
Le mien n'est pas dans ce goût. Il aura Lundy matin autant de contes à dormir debout qu'il voudra. Je m'intéresse beaucoup plus à sa santé qu'à toutes les guenilles dont il est question. S'il y a quelque relieur de bonne volonté qui puisse venir avec sa bazanne et ses outils, je lui enverrai un petit chariot. Il pourait bien avoir demain des contes. La Tolérance aura bientôt ses coudées franches. Mille tendres compliments.