1759-03-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à Marie Louise Denis.

Mia cara, j'ay plus d'envie de vous embrasser que vous n'en avez de revoir votre malade.
Je ne dineray point, je dérangerai mon régime pour vous puisque vous voulez bien me donner à souper. Sacrifiez moy made du Bocage, elle ne vous aime pas tant que moy. Sta sera mia cara saro a j vostri piedi sulle nove hore e mezzo e vi baccio teneramente.