1748-11-22, de Voltaire [François Marie Arouet] à Marie Louise Denis.

Mia cara voicy une nouvelle édition de ce panégirique.
Il paroit que le roy et ma prose réussissent mieux en province qu'en Paris. Voicy encore de petits versiculetsà M. de Richelieu qui pouront vous amuser. Voyez combien de rogatons je vous envoye, et vous ne m'écrivez point. Je vous aime pourtant bien tendrement et je vis toujours dans la douce espérance de vous embrasser au mois de décembre. Je vous recommande la femme à la mode. Adio mia cara musa. Vo baccio teneramente.

V.