21 juillet [1756]
Vous viendrez donc au mois d'aoust mon cher correspondant.
Regardez moy je vous prie comme de la famille.
Je suis bien malade malgré Esculape. J'ay à peine aujourdui la force d'écrire. Je serais fâché de mourir avant d'avoir mis vos Délices au point où je veux qu'elles soient.
Nous attendons les envois que nous devons à vos bontez. Mes nièces seront bien propres de cette affaire là. Il doit vous être adressé une caisse de deux tablaux pour notre hermitage. Je ne sçai pas encor si m. le m. de Richelieu passera à Lyon. Bon soir mon aimable correspondant.
V…