le 19 Sept. 1738 .Remusb.
Monsieur Thieriot, J'attens avec impatience vos relations circonstanciés de Cirey; comme vous êtes sur les lieux, vous êtes par conséquent à portée, de m'instruire exactement de l'état de la santé de Madame la Marquise, et de Monsieur de Voltaire, au quel vous remettrés, je vous prie, la lettre c'y jointe, et vous m'en procurerés la réponse.
Je suis Monsieur Vôtre affectionné
Federic