1774-11-14, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean François René Tabareau.

Pardon, Monsieur, une maladie qui a été mêlée d'une petite attaque d'apopléxie, m'a empêché de vous remercier de vos anémones et de vos renoncules.
Mais il n'y a point d'apopléxie qui puisse éteindre dans moi ma reconnaissance. Je me flatte que vous voudrez bien ordonner qu'on rembourse les fraix chez Mr Scherer.

J'ai l'honneur d'être avec tous les sentiments que je vous dois, Monsieur, vôtre très humble et très obéissant serviteur

Le vieux malade de Ferney V.