1772-08-21, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Claude Marin.

Mon secrétaire et moi, nous vous demandons pardon du Qui proquo.
Ces petites méprises arrivent quelquefois, et même dans les bureaux des ministres.

Je vous demande en grâce d'envoier cet essai sur les probabilités à Mr De Morangiés.

Nous voicy à la veille de la st Bartelémi; j'espère vous envoier incessamment un petit bouquet pour cette fête.

Salamaleken.

V.

Je ne sais ce que c'est que Lise. Vous savez qu'on met plus d'une sottise sur mon compte selon l'usage. Si Lise vaut la peine qu'on l'envoie je vous suplie de vouloir bien me la faire voir.