1765-06-30, de Voltaire [François Marie Arouet] à Gabriel Cramer.

Je prie instamment Monsieur Cramer de me faire renvoier les trois dernières épreuves auxquelles il est nécessaire que je fasse encor des corrections.
Je serais bien fâché qu'on eût tiré ces feuilles avant qu'elles fussent en état. Je le prie de ne pas perdre un moment d'en avertir son gros suisse.