1756-01-02, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Robert Tronchin.

Les solitaires de Monrion souhaittent des bonnes années sans fin à monsieur Tronchin, et à mr de Camp, et au neveu de monsieur Tronchin.

Je prie mon cher correspondant d'avoir la bonté de donner cours aux incluses. Je luy renouvelle les assurances de la plus tendre et de la plus inviolable amitié. Je ne veux point abuser de son temps et je ne luy demande des nouvelles qu'aux moments de son loisir s'il en a.

V.