Eikones
Eikones §
[ Fol. 1r] §
1899-10 §
[Titre] §
Εικονες
[Fol. 2r] §
Poème en prose (« Campagne ») §
{p. C.I.722 C.I.303}Campagne
——
blancheur d’amande – l’air mouvant parmi et sur le rugueux et le poli de l’arbre – le nu de la feuille glacée, de la flaque d’eau, la lumière sur le terrain, petits morceaux durs, mottes spongieuses, langues de sable –
La machine fruste, odeur, bouffée d’un arbre qui éclate, nue, mise en place de chaque eau et de chaque herbe – circulations, agréments, idées en viennent, marche.
attaque.
Prendre tout cela, déformer, éprouver – chauffer – tordre comme un linge, gerbe d’étincelles électriques, dirigée comme une lance d’arroseur.
——
amour –
Cuir et cheveux.
Poème en prose (« Le soleil fond et se liquéfie… ») §
Le soleil fond et se liquéfie, se déverse sur les dômes et les tuiles, dans un marécage magnifique de toits abondants, dans un abondant marécage de toitures magnifiques.
[Fol. 3r] §
* « Note politique » §
Note politique
——
I. Un peuple continue à être par ses besoins et ses habitudes :
Tout trouble qui n’altère pas ces choses est superficiel.
L’individu n’a aucune action sur ces choses.
II. Les idées générales d’un peuple changent lentement.
Le fond de ces idées ne change pas.
III. Les idées générales d’un peuple sont les symboles de ses besoins.
Le besoin reste sous les divers symboles.
IV. Un peuple peut subir certaines opérations.
V. <Un peuple est un individu médiocre, indolent, brutal.>
[Fol. 4r] §
* « Chose curieuse, on passe de soi, soleil, lignes de la rue droite… » §
{p. C.I.723 C.I.304}Chose curieuse, on passe de soi, soleil, lignes de la rue droite, éclats, zones ternes de murs, efforts de marche – à un état de vacillation, le soleil douloureux etc. en se figurant l’esprit d’un malade qui passe à pas pénibles, jaune et noir.
Transformation Z/Z′
Quand il soulève une jambe – considérable –
[Fol. 5r] §
* « Tableau de l’esprit tel que je le conçois aujourd’hui » §
Tableau de l’esprit tel que je le conçois aujourd’hui
——
D’abord et justement je vois qu’il me faut un système de représentation. Le langage ordinaire ne permet pas de spéculer sur ses éléments car il n’institue aucune relation (de construction) entre ses éléments. Chaque mot est construit à part et les relations entre mots ne permettent pas de transformations l’un dans l’autre –
[Fol. 6r] §
* « La bouche, succion, soufflet, la langue pilon, pinceau… » §
La bouche, succion, soufflet, la langue pilon, pinceau.
La mâchoire, – cisaille, pince, crochets et meules.
Les jambes, support, arcs, ressorts, crémaillères, compas, roues.
Les bras, arcs, bielles, marteaux, leviers, étireurs, grues.
Les mains, intégrateurs, trembleurs, fouilleurs, dragues, limes, fraises, vrilles, pelles et pioches. –
Les pieds, pelles, pics –
Les reins et le torse, cric, ressorts, vis, piston2.
Les yeux, sphères à la Cardan3,
Le cerveau – images de tous ces outils et de leur champ de travail.
[Fol. 7r] §
* « Un système dont une portion a un déplacement absolu… » §
{p. C.I.724}Un système dont une portion a un déplacement absolu et une autre un déplacement relatif ; dont toutes les variations laissent fixe un point (A) – ou {p. C.I.305}plutôt laissent identique un point dont on ignore la coïncidence avec lui-même ; qui a des liaisons d’ordre différent – pour des parties semblables sinon identiques ; qui se déforme dans des espaces de dimensions différentes et qui projette ces diversités sur un même lieu particulier, successivement ou simultanément ; qui établit en lui-même des liaisons nouvelles à son gré et en détruit, sauf celles primitives ; qui applique n’importe où, des forces caractérisées comme pures possibilités choisies dans un lot limité… qui existe par moments finis et par transformations – directes ! – qui ne repasse jamais par le même point absolu à moins d’ignorer ce nouveau passage ; dont les parties sont tantôt variables et tantôt invariables ; qui détermine des points symétriques et correspondants – dont les parties ont une inertie différente et graduée déterminant par continuité un point d’inertie infinie (A).
[Fol. 8r] §
* « Jam umbra ridens divisa undique foliis foliorumque… » §
Jam umbra ridens divisa undique foliis foliorumque impetibus mollibus, jam aeterna diurnaque nox particularis sub arboribus augebat nec sol superstabat si tamen excelsa lumen superans maneret sicut nectaris in rhytone post falernum exhaustum odor4.
[Fol. 9r] §
Poème en prose (« Le fleuve, long poil, cheveu de verre –… ») §
{p. C.I.725}Le fleuve, long poil, cheveu de verre –
le ciel / air /tout velu, de lueur, de lumière = ciel lion
morceau d’ambre –
large goutte – sucre dans l’eau
à midi, meule rayonnante,
le soir, un feu sur lequel du sucre fond dans l’eau.
* « Il a mis le soleil et le sommeil dans une phrase. » §
Il a mis le soleil et le sommeil dans une phrase.
[Fol. 10r] §
* « L’invention s’est reportée dans le domaine de la machine… » §
{p. C.I.306}L’invention s’est reportée dans le domaine de la machine – sans préférences.
[Fol. 11r] §
* « raconter les poissons. » §
raconter les poissons.
* « L’ornement, celui qui plaît, est un heureux accident… » §
L’ornement, celui qui plaît, est un heureux accident dans l’ensemble des choses visibles5 ; et, comme on veut toujours être le maître de ce qui a plu, il amène à se mêler dans l’esprit les formes de la volupté et celles de la fabrication.
<Je ne crois pas qu’on s’en rende compte.>
[Fol. 13r] §
* « accident heureux… » §
{p. C.I.726}accident heureux
formule de mouvements –
seulement elle vient
puis je regardai tout ainsi.
associe l’idée de plaisir et celle
de construction
cherche la bonne
place.
Transformation de plaisir en construction.
L’état instinctivement bête.
Sur le coin, un arbre était. Il était.
Théâtre
et ensemble de mécanismes
à demi connus dont on
est et dont on n’est pas.
[Fol. 14r] §
1898-01-11 (« La vérité c’est ce qui emmerde !… ») §
{p. C.I.307}La vérité c’est ce qui emmerde !
Ils ont tous peur de se faire extrêmement plaisir6 –
[Fol. 15r] §
* « Politics » §
Politics7
—
Dans tous les grands procès du régime actuel – à caractère politique, le ministère est intervenu et a pressé sur les magistrats.
Or sous l’ancien régime il fallait un lit de justice et le roy. Voilà le résultat.
Rendre de la force au magistrat par l’élection par les Cours d’appel de tous les magistrats du ressort.
Aussi par l’extension du pouvoir jurisprudentiel.
[Fol. 17r] §
* « forêt, foule, multiplicité, telle – … » §
{p. C.I.726}forêt, foule, multiplicité, telle –
1.000 arbres se répondaient.
Écho, nombre.
* « feu, poêle, quelqu’un, caché... » §
feu, poêle, quelqu’un, caché, sourdement actif vigilant changeant
Vent massif |
Et se confronter malheureusement avec tout ce qu’on n’a pas fait.
Il se représentait des têtes et des allures de gens ingénieux et forts, et cela lui servait à être tel ou tel. |
[Fol. 18r] §
* « S/S » §
Délice de la compréhension ! au milieu des oiseaux, comme des toupies ! subites – je suis, vais et viens – cette sensation / et ceci me / me laisse penser à autre chose, s’y mêle parfois – pas toujours.
{p. C.I.308}Tableau. Un ensemble – d’abord certaines variables – et certaines constantes, puis on change – peindre ainsi et de transformations en transformations.
Nombre des relations possibles entre 2 états donnés de 0 à ∞.
– Curieux effet de groupes rendus incomplets, insatisfaits par mémoire insuffisante.
– Donner concrètement certaines suites – y découvrir un groupe de transformations, résumé, développement sûr, toujours possible –
Peu à peu, ainsi l’homme creux s’éclaire, se peuple.
N’écrire que ce que parle l’homme intérieur – sicut ante Deum quia ille est8.
[Fol. 19r] §
* « Daughter – (dahitâ) = celle qui trait… » §
Daughter – (dahitâ) = celle qui trait.
Father – (pater pitâ) = le défenseur.
Brother – (bhrâtá frater) = le porteur (bhar, bear, ferre9).
[Fol. 20r] §
* « Tableau de formes psychologiques – (orchestre !) classées suivant l’énergétique » §
{p. C.I.729}Tableau de formes psychologiques – (orchestre !) classées suivant l’énergétique
ennui (potentiel) | colère (cinétique) |
disposition – (potentiel) | émotion – |
attention | |
intention |
intelligence – moment où l’on perçoit un ensemble –. |
désir | |
volonté
insouciance
formations
sommeil |
raisonnement
fixations. –
variation – changement Le langage a désigné grossièrement ces formes. |
tristesse – | |
ardeur (cinétique) | A) formes du moment – |
enthousiasme | a) instables, brusques |
efforts | b) stables |
[ Fol. 22r] §
* « Paris – octobre – midi… » §
{p. C.I.309}Paris – octobre – midi.
I. Boulevard Capucines, soyeux,
vitres laquées glacées d’azur sombre, feuillages, corniches dorées
ombre froide et charmante, lacs de soleil, chauffage
femmes grandes fourrures. 2 s’embrassent à la blague à la terrasse du Café de la Paix
odeur de peinture fraîche
chevaux, cabs, passants continus presque en silence un ronflement.
Ce mélange est traversé par le motif d’un passant.
Notion de la devanture, de l’exhibition.
Idée de la grande fortune. Ce coupé est le mien.
II. –—————————————
[Fol. Δ1] §
* « M. Teste – après la Rue – dit : … » §
[M. Teste –
après la Rue – dit :
mène
J’ai été aussi loin que l’esprit même (devrait) / autour de /10]
[Fol. 23r] §
* « Toute la nue et le rose final du soir… » §
{p. C.I.730}[Toute la nue et le rose final du soir
Du jour léger se joue et se noue à / autour de / la paille
Légère qui dans les boucles du ciel noir
Qui tremblera sur la touffe d’or noir11]
[Fol. 24r] §
* « Sensations. » §
φ(u)= Δφ(v)
Sensations.
Grosse bouffe grossissant d’un corsage clair qui se déplace sur ma gauche, en flottant, m’emplit et cesse.
{p. C.I.310}squelette échelle, (échelet)te
sk. σκελετρον scala. – schola12
L’homme qui se déplace, associe son mouvement aux variations de la région où il se déplace. S’il se déplace sans se mouvoir par soi-même..… – trou –..… Dans la connaissance, il pense que son moi est fixe, que son esprit se déroule, et qu’il (lui) se déplace devant la Réalité. Dans cette hypothèse inconsciente 2 points supposés fixes Moi et Réalité actuelle (fixité relative naturellement). Le monde mental se déplace par rapport aux 2 points.
[ Fol. 26v] §
* « Fragmentum » §
Fragmentum13
—
… Et ce voyant, j’ordonnai à la troupe que chacun fermât ses yeux. Moi seul regardai le champ qui était capable de donner de l’inquiétude ; j’étais calme car j’ai coutume de recouvrer tout mon sens et de m’assurer pourvu que je ne sois pas seul.
… Enfin je voulus leur ôter jusqu’à la réflexion. Je commandai qu’on marchât dans le meilleur ordre et je les ralentissais pour leur mettre envie de courir. Je les arrêtais fréquemment et faisais tirer bien ensemble.
[ Fol. 27r] §
* [Dessin d’une femme nue] §
[Dessin d’une femme nue sur une feuille volante]
[Fol. 28r] §
* « L’accommodation aux différents individus qui se rencontrent… » §
{p. C.I.731}L’accommodation aux différents individus qui se rencontrent, habileté, faiblesse, courtoisie.
Cloches de Sainte Clotilde14, soleil encore faible dans les rideaux, sur le bureau étonné, sur moi.
Rage de ne rien pouvoir contre Impossibilité de comprendre que moi, ici…., Idée de l’importance exagérée donnée à ce moi. Jamais trop ! Absurdité des mots : importance exagérée.
{p. C.I.311}My dear P. a., you are in a very deep feature. You have in a minute drawn the path of all your life. You can look at your own death so easily as anyone, for many and many years (perhaps) after, beeing, according to probability, the neighbour of the death, you could be in the same building, in the same chair, with the same words of the same faces around you.
We have thought, dear P., to interlocute as nearly of the other, as we shall can15…
[Fol. 28v] §
* « Projet pour lutter contre le présent. » §
Projet pour lutter contre le présent.
——
Le présent étant autour de moi, comme visqueux, et mortifiant les mouvements de mon esprit, il faut me déterminer à une lutte aussi énergique que possible.
Il sera procédé à l’étude méthodique des idées antérieures, relatives à la psychologie, que j’ai déjà essayées : -
Et puis j’examinerai l’étendue du temps de la journée.
——
Étudier très en détail le Souper de Singapour. – –
[Fol. 29r] §
* « Lit » §
Lit
Lit, Horizon de délice et de douleur –
avec ses masses blanches suspendues – son profil d’ombre écrue.
[Fol. 29v] §
* [Page de calculs] §
[Page de calculs]
[ Fol. 30r] §
* « toute barricadée D’ondes… » §
{p. C.I.734}————————————————— toute barricadée
D’ondes.
barriques flottantes
[ Fol. 31r] §
* « L’empirisme littéraire » §
{p. C.I.312}L’empirisme littéraire
——
Je suppose qu’un individu, tout rigueur et finesse, pareil à ceux qui ont inventé ce que nous trouvons le plus sûr, pense à la littérature, prenne à l’égard de ce domaine, son attitude qui lui soit la plus favorable pour les aventures spirituelles analytiques et donnant de force à son esprit la forme particulière qui lui donne ce qu’on nomme problème, – verse de la difficulté dans ce sujet : écrire, jusque-là <voué au vague et au laisser-aller.>
S’il commence par étudier l’écrivain, il se trouvera dans la vanité et l’argent.
Mais cela se lève – en regardant l’écrit – il y verra la transformation de faits mentaux en d’autres faits mentaux irréductibles aux 1ers. Ce rapport est le rendement (personnel) mais [inachevé]
[ Fol. 33r] §
* « Exercices – particuliers. » §
[Exercices – particuliers.
Virtuel – – | Rov. |
Demi. | Pin. |
dº | M.T. P. |
Entier. | Bath. |
+ |
Clau. Loul. Loulboul. |
Divers. |
H. Fin-Hill Fan. Joh – Zo – – + Caracci – Md16 – |
Tout cela n’a rien d’extraordinaire.
[Fol. 35r] §
* « Jeannie et Julie et Paule… » §
Ô solitude !
|
Je brûle comme on se joue
Ma solitude
À la flamme d’une joue
|
Tes regards souvenirs des
Éperdus
|
merveilleux18 orages
fluides tourmentes
pures aventures
plus nobles>
|
[Fol. 35v] §
* « Lampe qui fais briller – – le livre… » §
[Lampe qui fais briller – – le livre
Diamants
Berceuse
<Encore un peu de temps et la grande douceur20 De mes livres brillant sous la lampe dorée Touchera le regard d’une>
[Fol. 36r] §
* §
{p. C.I.735 C.I.314}[Anciens écrivains – lait et vins puis – tel et tels – alcools plus ou moins aigus, fins et forts
et là, les détestables apéritifs ou ivresses différentes –22]
[Fol. 38r] §
* « “Dis-moi que V. [Valéry] est bête”… » §
[« Dis-moi que V. [Valéry] est bête »
J. G. [Jeannie Gobillard23]
Dire qu’on se sent si inférieur24.]
[Fol. 40r] §
* « Mahmoud s’étendit sur le dos sur le sommet étroit du mont… » §
[Mahmoud s’étendit sur le dos sur le sommet étroit du mont et il vit et il pensa :
Et il voulut fortement connaître la loi et le principe, et il les devint.
Il regarda des yeux le haut du ciel et en même temps toutes les formes dans son esprit.
Toutes les formes et un seul soleil –
Tout ce qu’il voyait entrait en vie dans son esprit et mourait au delà.
Tout ce qui entrait dans son esprit prenait le mouvement et la force et prenait une force propre.
Tout ce qui naissait dans son esprit prenait la couleur de la lumière régnante et l’intrépidité du rayon qui arrive.
<Et il dit : je suis la loi du réel et la lumière25.>]
[Fol. 41r] §
* « Le coq ou le soleil fendait les rêves d’Egraphos dès l’aube… » §
{p. C.I.738 C.I.315}[Dessin]
[Le coq ou le soleil fendait les rêves d’Egraphos dès l’aube.
Le coq ou l’aube perçait les rêves d’Egraphos. Le soleil comme un coq ou
Un coq comme le soleil26.]
[Fol. Δ 2] §
* « Opérations. » §
{p. C.I.736}Opérations.
une formule algébrique est l’indication d’une suite d’opérations à effectuer. Si on égale cette formule à quelque chose − (0), elle implique que l’on peut faire subir aux 2 membres la même série d’opérations.
a + b + c = d
a + b = d − c. D’abord les quantités sont distinctes et indépendantes des opérations.
Au fond elle constitue une relation entre des opérations.
Elle implique [que] toute suite d’opérations quelconques peut être égale à toute autre suite quelconque si les quantités sont convenablement choisies.
Elle institue alors une relation momentanée entre les quantités et les opérations qui ne sont plus indépendantes les unes des autres27.
{p. C.I.316}Dès lors tout changement dans les quantités doit affecter un changement dans les opérations et réciproquement (?)
De plus en algèbre pure les opérations sont et doivent [être] inexécutables au sens arithmétique de confusion.
a + b = c
d + b = c’
[Fol. Δ 3] §
* « Il y a des choses dont l’oubli est ou n’est pas, presque sans degrés… » §
{p. C.I.740}[Il y a des choses dont l’oubli est ou n’est pas, presque sans degrés.
Étude des altérations produites par l’oubli :
Oublis d’objets mêmes et oublis de relations
[Croquis]
L’oubli est un jugement – au point de vue du moi –28]
[Fol. Δ 4] §
* « Mesure du continu » §
{p. C.I.737}Mesure du continu
——
(soit l’intervalle 0-1)
dans cette mesure on prend un point arbitraire de départ, on peut toujours donner une valeur numérique à un point quelconque – c’est-à-dire qu’on fait correspondre une origine arbitraire à une origine donnée – d’une autre chose – (1, 2, 3, 4).
Tout compte ou mesure discrète divise le domaine donné en 2 parties dont l’une ne contient que les choses comptées et l’autre le reste.
Si ces 2 parties sont bien distinguées, le compte des choses déjà comptées est indépendant de leur position.
La mesure du continu est indépendante de l’origine – Donc les singularités arithmétiques qui se produisent c’est-à-dire les différences de nature entre les nombres successifs qui expriment ledit continu en un point quelconque, sont indépendantes de ce continu.