20e juill: 1774
Monsieur,
Je n'aurais pas pris la liberté de m'adresser à vous et à Mr De Voltaire, sans la prière de Mr De Vincy; car je suis très piqué contre le curé Bavoux, pour avoir, aux Rousses, maltraitté ses paroissiens, esclaves du chapitre de St Claude, parce qu'ils lisaient les pièces imprimées en leur faveur.
Je le crois d'ailleurs un peu fêlé.
Je vous remercie infiniment de ce que vous avez la bonté de me promettre.
J'ai l'honneur d'être avec respect
Monsieur
Vôtre très humble et très obéissant serviteur
Wagniere