[c. 10 March 1765]
Je prie Monsieur Cramer plus que jamais d'ordonner qu'on envoie sans différer chez Souchay, l'épreuve de cette feuille qu'il m'a promise.
Il s'agit d'une affaire aussi intéressante que celle des Calas, et à laquelle Monsieur Cramer prendrait autant d'intérêt que moi, s'il connaissait les personnes que je veux servir. Je lui demande en grâce de ne pas négliger une affaire qui me touche si sensiblement. S'il lui manque quelque chose pour completter quelque tome, il n'aura qu'à parler.