Trouvez bon que je condamne des gens que j’ai toujours condamnés, et qui se sont souillés en cannibales du sang de l’innocent et du faible.
Quand au mal que vous dites de cette traduction vous croyez bien que je n'entreprendray pas de justiffier ce que vous condamner, elle peut avoir tous les deffauts que vous lui reprochéz, mais J'ay le courage de vous avouer que le stile, tout plat qu'il vous a parû, me plait infiniment plus que celui de nos autheurs modernes, des […]http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1170468_1key001cor/txt/001&c.
Mais moi mon cher Voltaire, condamnée à un cachot perpétuel Je n’avois de resourçe que la société, que l’amitié de La plus charmante personne qui ait Jamais Existée.
Horace rougira (si tant est que les ombres rougissent) de se voir surpasser; et Minos de se voir si bien Juger et d’être forcé d’avouer qu’il devroit subir les punitions auxquelles il condamne des gens moins coupables que lui.
Je vous répète que je ne serai jamais ingrat mais que je n’oublierai jamais le chevalier de la Bare et mon ami le fils du président de Tallonde qui fut condamné au supplice des parricides pour une très légère faute de jeunesse.
Je suis déchiré en aiant continuellement sous mes yeux un jeune homme plein de sagesse et de talents, condamné à une multitude de suplices tels qu'on ne les afflige pas aux parricides, le tout pour avoir chanté dans son enfance une chanson du pont neuf.
Voilà donc comme vous êtes aveugle; je suis ravie que vous ne soyez point mon confrère, et qu'aucune lumière ne vous soit refusée; communiquez moi toute celles dont je suis susceptibles et ne m'abandonnez pas dans le cachot où je suis condamné.