Adieu, Madame, dissipez vous, soupez, mais surtout, digérez; dormez; vivez avec le monde dont vous ferez toujours le charme.

Adieu madame consolez vous de votre existence et poussez la cependant le plus loin que vous pourez.

Adieu, Madame, songez, je vous prie, que vous me devez quelque respect, car si dans le roiaume des aveugles les borgnes sont rois, je suis assurément plus que borgne; mais que ce respect ne diminue rien de vos bontés.

Adieu monsieur, soyez persuadé que personne n'est à vous aussi parfaitement que moi.

Adieu madame, je vous aime de loin, et je vous aime encor plus de près.

Adieu, madame, conservez au moins votre santé, c'est là une chose nécessaire à tout âge et à tout état.

http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180234_1key001cor/nts/009 Adieu, Madame, quand vous me donnerez des thêmes je vous dirai toujours tout ce que j'ai sur le cœur.

Adieu, madame, je suis à vous jusqu'au moment du néant.

Adieu mon cher et ancien amy, je vous aime de tout mon coeur.

Adieu mon révérend père; faites tous les jours mention de moi dans votre memento.

Adieu, Madame, soupez, digérez, conversez, et quand vous écrirez à vôtre grand maman, qui ne m'écrit point, mettez moi tout de mon long à ses pieds.

Adieu, madame, mon horloge voudrait sonner l'heure d'être auprès de vous.

Adieu madame, soyez sûr que le bord du lac Léman n'est pas l'endroit de la terre où vous êtes le moins chérie et respectée.

http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1030330_1key001cor/txt/003 Adieu monsieur, personne n'a pour vous plus de goût, plus d'estime, plus d'amitié, il y quarante ans que Je pense de même.

Adieu, Madame, je vous aimerai, et je vous respecterai, jusqu'à ce que je rende mon corps aux quatre Elémens.

Adieu, madame, prenez les pour ce qu'ils sont, et vivez aussi heureuse que vous le pouvez, en les méprisant, et en les tolérant.

Adieu, Madame, courage, faisons de nécessité vertu.

Adieu, Madame; vivez, digérez, pensez; je vous aime de tout mon cœur.

Adieu mon cher Voltaire.

Les suittes de mon accident m'ont paru si sérieuses que je n'ai pas voulu faire mon voiage sans prendre la liberté de dire adieu à celle que vous appelliez vôtre grand-maman.

Adieu, Madame, souffrons nos misères humaines patiemment.

Adieu, Madame, vivez aussi heureuse qu'il est possible; tolérez la vie.

Adieu, madame, je suis un peu malade, et je ne vois pas le monde en beau.

Adieu, Madame, je vous aimerai toujours sans la plus légère diminution.

Adieu, madame, tolérez la vie; je la tolère bien.

Adieu madame, Je suis à vos pieds.

Adieu.

Adieu, Madame, faittes comme vous pourez; vivez, portez vous bien, digérez, cherchez le plaisir s'il y en a, luttez contre cette fatale nature dont je parle sans cesse et où j'entends si peu de chose; aiez de l'imagination jusqu'à la fin et aimez vôtre très ancien serviteur, qui vous est plus attaché que tous vos serviteurs nouveaux.

http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1210039_1key001cor/txt/004 Adieu, Madame, quelque chose que vous pensiez, de quelque chose que vous soiez dégoûtée, quelque vie que vous meniez, l’hermite de Ferney vous sera tendrement attaché jusqu’au moment où il ira savoir qui a raison de Platon ou de Spinosa, de st Paul ou d’Epictete, de Confucius ou du journal chrétien.

Adieu.

Adieu, Madame, contre nature bon cœur.

Adieu, monsieur; votre amitié, votre correspondance est ce qui m'attache le plus à la vie, c'est le seul plaisir qui me reste.

Adieu monsieur, soyez persuadé de ma tendre amitié, elle est plus tendre et plus sincère que celle de vos académiciens et de vos philosophes.

Adieu mon cher et ancien ami.

Adieu Monsieur, cette lettre est d'une insuportable longueur, ne Craignez point la récidive, vous me ferez toujours taire quand vous voudrez.

Adieu.

Adieu, Madame; fesons tous deux comme nous pourons.

Adieu madame, je suis si acoutumé à parler librement que je suis toujours prest à écrire une sottise.

Adieu madame.

Adieu monsieur, c'est assez me loüer, vous m'apprendrez si J'ay tort ou raison par la façon dont vous me traiterez.

Adieu mon cher et ancien ami, le seul orthodoxe de bon goût et le seul en qui Je crois et que Je reverre.

Adieu, Madame, je vous respecte et je vous aime autant que je vous plains et je vous aimerai jusqu'au dernier moment de notre courte et misérable durée.

Adieu, madame, je baise vos mains avec mes lêvres fort plates; et je vous serai attaché jusqu'a mon dernier moment.

Adieu mon cher ami, ma seule consolation ayez toujours soin de moi.

Adieu, madame, consolons nous.

Adieu.

Adieu mon cher Voltaire, en voilà assez long.

Adieu, Madame, suportons la vie qui n'est pas grand'chose, ne craignons pas la mort qui n'est rien du tout, et soyez bien persuadée que mon seul chagrin est de ne pouvoir m'entretenir avec vous, et vous assurer dans vôtre couvent de mon très tendre et très sincère respect, et de mon inviolable attachement.

Adieu madame, si J'étais à Paris, Je préférerais votre société à tout ce qui se fait en Europe et en Asie.

Adieu monsieur, aimez moi un peu, c'est justice, c'est reconnoissance, vous aimant je vous jure très tendrement.

Adieu monsieur, réparez la faute que votre secrétaire a faite et envoyez moi le plutôt qu'il sera possible ce qui manque à la lettre sur melle Lenclos, depuis la page 12 jusqu'à la page 61.

Adieu, Madame, jouïssez de tous les spectacles de la cour et de la ville, et daignez vous souvenir quelquefois du vieux malade V.

http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1040423_1key001cor/txt/001 Adieu monsieur, http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1040423_1key001cor/txt/001il ne m'appartient pas de vous écrire des lettres immenses et de payer le plaisir que me font les vôtres par l'ennuy que vous causeroient les miennes.

Adieu, monsieur, Jusqu'à demain que je reprendray cette lettre.

Adieu, madame, il faut joûer avec la vie jusqu'au dernier moment, et jusqu'au dernier moment je vous serai sérieusement attaché avec le respect le plus tendre.

Adieu, Me, soyez heureuse autant que vous le pourez.

Adieu, Madame, vivons comme nous pourons.