Je suis malade, portez vous bien, soyez aussi guaie que votre état le permet et ne boudez plus votre ancien ami qui vous est tendrement attaché pr toujours.
Mon dernier chapitre à moi c'est de vous aimer très tendrement, et de souhaitter avec une passion malheureuse de vous voir et de vous entendre.
Conservez vôtre santé, vôtre gaité, vôtre imagination et vôtre bonté, pour vôtre très vieux et très malingre serviteur, qui vous est bien tendrement attaché pour le reste de ses jours.
Je vous aime tendrement, je m'intéresse sensiblement à tout ce qui vous regarde.
Je vous prie de me pardonner mes lamentations, et de croire que le bonhomme Jeremie au milieu de ses montagnes vous est aussi tendrement attaché que s'il avait le bonheur de vous voir tous les jours.