Conservez vôtre santé, vôtre gaité, vôtre imagination et vôtre bonté, pour vôtre très vieux et très malingre serviteur, qui vous est bien tendrement attaché pour le reste de ses jours.
Vôtre grand-maman a de la santé et bonne compagnie.
Il a une santé déplorable qui m'inquiète, je l'aime beaucoup, et c'est un de vos plus grands admirateurs; J'ay été fort aise de ce que vous m'avez écrit sur le président, il y a été extrêmement sensible; sa santé est très bonne; il voit pour moi, J'entend pour lui, et nous trainons notre misérable Viéllesse, tandis que la vôtre paroit vous soutenir.
Vous ne me parlez Jamais de votre santé; dite moy, si vous prenez toujours de la casse, c'est le seul remède dont je fasse usage; mais depuis quelques tems je m'apperçois qu'elle me laisse quelques petites douleurs d'entrailles, et qu'elle ne remédie point à mes insomnies; nous devenons bien vieux, mon cher amy; vôtre âme ne vous en averty pas; la mienne ne vieillit pas à proportion de mon corps; ma mémoire cependant s'affoiblit beaucoup; celle du Président est presque totalement perdüe, ainsy que ses jambes; du reste il à fort bon visage, et dit quelques fois d'assez bonne choses;http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1190112b_1key001cor/txt/001 ce seroit pour moy un Grand plaisir de me retrouver avec vous; si j'avois exécuté le projet que j'eux il y a quinze ans de m'établir en Province, Je vous aurois rendu des visites; mais aujourd'huy je suis trop vieille pour songer à changer de place; je resteray dans ma cellule, lisant vos ouvrages, vous Ecrivant quelques fois, et vous aimant jusqu'à mon dernier moment.
Je n’aspire point à une parfaite santé ni à aucun plaisir; Je supporteroit patiemment mon état actuel qui aux yeux de tout le monde paroit bien malheureux si J’avois un ami véritable.
Je ne crois pas qu’il ait beaucoup à attendre actuellement du Dannemarck, ni du reste du monde: sa santé est dans un état déplorable; il voyage avec deux Malades qu’il a trouvés en chemin.
Sa santé est bien mauvaise, et les révolutions du Dannemark ne le rétabliront pas.
Paris ce 12 8bre 1772 Jamais lettre n’est arrivée si àpropos que vôtre dernierre; j’étois dans la plus grande inquiétudehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1230103c_1key001cor/nts/001, le bruit Courroit icy que vous étiés extrêmement malade; cette inquiétude avoit succédé à une autre; n’ayant plus de vos nouvelles, je craignois que ma dernière lettre ne vous eûs fâchée; mais tout va bien Dieu mercy, vôtre santé, vôtre amitié, deux chôses très nécessaires à ma tranquilité et à mon bonheur.
Je dois me taire en vers et en prose; mais en me taisant je vous serai toujours très vivement attaché; je ferai des vœux pour que vous viviez beaucoup plus longtemps que moi, pour qu’une santé parfaitte vous console de ce que vous avez perdu, pour que vous joüissiez d’un excellent estomac, pour que vous soiez aussi heureuse qu’on peut l’être dans un monde où les douleurs et les privations sont d’une nécessité absolue.
Dupuis; Je luy ay fait mille questions qui partoient toutes de ma tendre amitié pour vous; Je vois que nos santés sont assez semblables, ainsy que nos âges; il me serois bien doux, je ne sçaurois dire de vous voir, mais de vous entendre; quel plaisir j'aurois que vous entrassiés dans ma chambre sans que l'on vous annonça, et que Je vous reconnusse à vôtre son de voix!
Je m'intéresse bien vivement à vôtre santé et à la sienne.
Tout me manque, santé, loisir, esprit, imagination.
Levons nous en disant que ferai-je aujourduy pour me procurer de la santé et de L'amusement?
24e Mars 1772 Je vous écris, Madame, malgré le pitoiable état où mon grand âge, ma mauvaise santé et le climat dur où je me suis confiné, ont réduit mon corps et mon âme.
Je vous souhaitte toute la santé, tous les amusements, toute la bonne compagnie, tous les bons soupers qu’on peut mettre à la place de deux yeux qui vous manquent.
C’est mr de L’Islehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1240154_1key001cor/nts/001 qui m’a écrit de Chanteloup tout les Enchantemens où il est de vous, de votre santé, de votre gaité, de votre bonne réception, de votre magnificence, de votre bienfaisance, enfin de tant et tant de choses, que je n’en puis faire l’Enumération.
Parlez moi de vôtre santé et de celle de Madame Denis.
Je vais aux eaux de Plombieres; non que j'espère y trouver la santé à la quelle je renonce; mais parce que mes amis y vont.
L'abbé de Chaulieu qui valait bien Salomon, a dit Bonne ou mauvaise santé fait notre philosophiehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1120118_1key001cor/nts/003.
Adieu, madame, conservez au moins votre santé, c'est là une chose nécessaire à tout âge et à tout état.
Je vous prie de vouloir bien, Madame, me mander des nouvelles de la santé de Madame de la Valliere.
J'ay attendu que j'eusse repris un peu de santé pour m'aller guérir à Plombières.
Accablé une année entière sans relâche dehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1010176_1key001cor/txt/001 travaux sous les quels ma santé succombait, et ayant de plus l'occupation d'une maison et d'un jardin, et même de l'agriculture, enseveli dans les Alpes, dans les livres et dans les ouvrages de la campagne, je me sentais incapable de vous amuser; et encor plus de vous consoler.
Enfin monsieur, si votre santé est bonne, si vous Jouissez des douceurs de l'amitié, le roy de Prusse a raison, vous êtes mille fois plus heureux que lui malgré la gloire qui l'environne et la honte de ses Ennemis.
Je n'ai guères plus de santé que vous ne m'en avez connu; je vis, et je ne sçais comment, et au jour la journée, tout comme les autres.
Faittes bonne chère, aiez soin de vôtre santé, amusez vous quelquefois à dicter vos idées pour comparer ce que vous pensiez la veille à ce que vous pensez aujourd'hui; vous aurez deux très grands plaisirs, celui de vivre avec la meilleure compagnie de Paris, et celui de vivre avec vous même; je vous défie d'imaginer rien de mieux.
Ce seroit pour vous, un tems bien mal employé; il n'y faut donner que le pur nécessaire pour vôtre santé; employez tout le reste à instruire, à éclairer, et surtout à amûser la grand maman et sa petitefille; pour moy qui ne dort point, Je m'occupe souvent les nuits à repasser tous les vers que J'ay retenüe; vos Epitres au Roy de Prusse, au Maréchalhttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1200281_1key001cor/nts/001 de Villars, au Président, &c. ont souvent la préférence; pourquoy ne feriez vous pas une jolie Epitrehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1200281_1key001cor/nts/002 pour la grand maman?
Mais il faudrait aussi vous confesser à moy, me dire comment vous vous portez, ce que vous faites pour votre santé et pour votre bonheur, quand vous comptez retourner à Paris, et comment vous prenez les choses de la vie.
Ma mauvaise santé n'est point une excuse auprès de moi; et quoi que je ne puisse guères écrire de ma main, je pouvais du moins dicter des choses fort tristes qui ne déplaisent pas aux personnes comme vous, qui connaissent toutes les misères de cette vie, et qui sont détrompées de toutes les illusions.
Vous devez être informée de la santé du marihttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1210039_1key001cor/txt/002.
Je l’attends sur mon fumier du mont Jura, et je vous souhaitte du moins de la santé dans vôtre St Joseph.
Je souhaitte à vôtre amihttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1050232_1key001cor/nts/006 de la santé, et je voudrais qu'il se souvint un peu de moi.
On dit qu’elle ne se portait pas bien à son départ; je tremble toujours pour sa petite santé.
L’état même de ma santé ne me permettrait pas de vous voir ce qu’on appelle en visite.
5e Juin 1772 Vous me parlez, Madame, de philosophie pratique, parlez moi de santé pratique.
Je me traine en carosse auprès de mes charues; mes laboureurs n'éxigent point que j'aie de la santé et de l'esprit, et que je leur fasse des vers pour être mis dans le mercure.
La vie est très douce, très libre, et son égalité contribue à la santé.
Nos écrivains d'aujourd'huy ont des corps de fer, non pas en fait de santé mais en fait de stile.
Ne pensez pas que Je me porte mieux que Vous, mais Je ne suis pas asséz malade pour prévoir une fin prochaine, je vivray trop long tems si je dois survivre à mes amis, Je ferai tout vos compliment au président; sa santé n'est pas trop bonne, je lui porteray ce soir vos lettres qui le charmerons, elles réussiront en Angleterre J'en suis bien sûre.
Ne vous figurez pas Monsieur, que le Président vous ayt soupçonné, ni lui ni moyhttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180258b_1key001cor/nts/001 n'avons eûs cette pensée; et si quelqu'un a dit l'avoir, il en faisoit semblant, mais je suis bien aise d'avoir cette lettre; il n'est plus permis actuellement d'insinuer le moindre soupçon sur vous; Le Pauvre Président n'est plus en Etat de s'intéresser à rien; sa santé n'est pas mauvaise, mais sa tête ne va pas bien; ne luy écrivez plus sur ce sujet, je vous le demande en Grâce.
Si on me donnoit un souhait à faire, avec la certitude qu'il seroit Exaucé, J'aurois bientôt dit, ce n'est ni la fortune, ni les honneurs, ni même une parfaite santé que Je désire, c'est le don de ne me Jamais ennuyer.
Ayez bien soin de votre santé monsieur.
Il faut un corps d'Hercule pour vivre icy, mais j'y suis libre, et j'ai trouvé que la liberté valait encor mieux que la santé.
18 may 1767 Il y a plus de six semaines, madame, que Je suis toujours prêt à vous Ecrire, à m'informer de votre santé, à vous demander comment vous supportez la vie vous et mr Le pt Henault, et à m'entretenir avec vous sur toutes les illusions de ce monde; mais Je me suis trouvé Exposé à tous les fléaux de la guerre, et à celui de trente pieds de neige dont J'ay été long tems Environné: les neiges et les glaces me privent tous les ans de la vüe pendant quatre mois; J'ay l'honneur d'être alors, comme vous sçavez, votre confrère des quinze vingt; mais les quinze vingts ne souffrent pas et J'Eprouve des douleurs très cuisantes.
Conservez vôtre santé, continuez à faire le charme de la société, faittes vous lire des livres qui vous amusent.