Adieu mon cher ami.

Adieu monsieur, il y a mille ans que vous ne nous avez rien donné.

Adieu mon cher et ancien ami, ayez plus de confiance en moi et vous ne serez plus embarassé de m'Ecrire.

Adieu, monsieur, J'envie le sort de mad.

Adieu, Madame, conservez vôtre santé, et quelquefois même de la guaité; mais n'est pas guai qui veut, et ce monde, en général, ne réjouit guères les esprits bienfaits.

Adieu, Madame, je souffre beaucoup; je ne pourais rien écrire qui pût vous amuser.

Adieu, Madame, conservez la vôtre. […] Adieu, encor une fois.

Adieu madame, je vous suis attaché comme l'abbé Linant vous le sera, avec le plus respectueux et le plus tendre dévouement.

Adieu madame.

Adieu, Madame, supportez la vie et le siècle.

Adieu, monsieur, répondez moi incessament.

Adieu madame, conservez du moins votre santé.

Adieu, Je vous quitte, pour Ecrire à la grand maman; Je lui envoye vôtre lettre; Elle luy confirmera la continuation de vos sentiments pour elle, et pour son mary; Ils méritent l’un et l’autre l’estime et l’attachement du public; et surtout de vous et de moy; c’est là ce qui fonde le plus nôtre fraternité.

Adieu, Madame, si vous aviez des yeux, je vous dirais, venez philosopher avec nous, parce que vos yeux seraient éguaiés pendant neuf mois par le plus agréable aspect qui soit sur la terre; mais ce qui fait le charme de la vie est perdu pour vous; et je vous assure que celà me fait toujours saigner le cœur. […] Adieu encor une fois, madame, je vous aime beaucoup plus que vous ne pensez.

Adieu mon ancien ami, vous êtes ingrat si vous ne m'aimez pas.

Adieu, madame, cette vie n'est pas semée de roses.

Adieu mon cher Voltaire, il y a plus de 50 ans que Je vous aime, J'en ay peut être encore 4 ou 5 à vous aimer; c'est ma sentence que je prononce et non pas la vôtre.

Adieu mon cher Voltaire, je voudrois bien que nous puissions nous embrasser encore une fois avant nôtre entière séparation.

http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1210316_1key001cor/txt/001 Adieu, Madame, portez vous bien, allez voir vôtre amie, faittes toutes deux le bonheur l’une de l’autre, si le mot de bonheur peut se prononcer.

Adieu mon cher Voltaire, mettez moi au fait de ce que Je dois croire et de ce que Je doit nier ou affirmer en sûreté de conscience.

Ainsy donc adieu mon cher Voltaire, Je vous aime et Je vous aimeray toujours.

Adieu.

Une bonne femme m'a guéri à peu près, mais quand je m'expose à ce maudit vent, adieu la vue. […] Adieu madame, je suis honteux d'avoir recouvré un peu la vue pour quelques mois pendant que vous en êtes privée pour toujours.

Adieu monsieur, ne m'oubliez pas et envoyez moi quelque chose qui m'amuse, J'en ay besoin, Je péris de langueur et d'ennuy.

Adieu mon cher Voltaire, conservez moi votre amitié.

Adieu madame, je vous aime comme si j'avais encore vingt ans à vivre gaiement avec vous.

Adieu, Madame.

Adieu, Madame, je suis très peu répandu.

Adieu.

Adieu, aimez moi toujours un peu et Je vous aimeray toujours infiniment.

Que je vive avec toi, que j’expire à tes yeux, Et puisse ma main défaillante Serrer encor la tienne en nos derniers adieux!

Adieu mon cher Voltaire; pourquoy articuler que Je ne vous verray Jamais?

Adieu monsieur, Je vous aime beaucoup, et Je crois que vous ne m'aimez guères.

Adieu, Madame, je ne sçais si nous avons jamais bien joui de la vie, mais tâchons de la supporter.

Adieu madame, jouissez de la vie autant qu'il est possible; et soiez bien sûre que je suis à vous, que je vous appartiens, jusqu'au dernier moment de la miene.

Adieu monsieur, Je vous prie d'être persuadé qu'il n'i à que vous que J'adore, tous le reste sont des faux dieux.

Adieu monsieur, Je me sens indigne de vous occupper plus long tems.

Adieu, Je vais tâcher de dormir; envoyez moi de quoy m'en passer.

Adieu mon bon et ancien ami.

Adieu, Madame, jouïssez du peu que la nature nous laisse.

Adieu, Madame, quoiqu’en dise Mr Hubert, je n’ai pas longtems à vivre, et quoique vous en disiez, j’ai la plus grande envie du monde de vous faire ma cour.

Adieu, Madame, vivons l’un et l’autre le moins malheureusement que nous pourons; c’est toujours là mon refrain, car puisque nous ne nous tuons pas, il est clair que nous aimons la vie.

Adieu, Madame, dissipez vous, soupez, mais surtout, digérez; dormez; vivez avec le monde dont vous ferez toujours le charme.