Soiez très sûre qu'on passe des moments bien tristes à quatre vingt ans quand on nage dans le doute.
Dès que vous me donnerez des thêmes soiez sûre que vous entendrez parler de moi, que je suis à vos ordres, et que je vous enverrai tous les rogatons qui me tomberont sous la main.
Adieu madame, jouissez de la vie autant qu'il est possible; et soiez bien sûre que je suis à vous, que je vous appartiens, jusqu'au dernier moment de la miene.
Dès qu’on veut faire quelque bien on est sûr de trouver des ennemis.
Soiez très sûre que ce n’est pas de moi que Madame la comtesse de Brionnehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1230135b_1key001cor/nts/001 la tient; mais voicy le fait.
Vous êtes son légataire j'en suis sûre, faites moi part de cette partie de Vôtre legs, et incessamment je vous prie.
Soyez sûre que les tempéraments chez qui la digestion est un peu lente, et l'esprit prompt, et à qui la casse fait un bon effet, durent d'ordinaire plus longtemps que les corps frais et dodus.
Si je ne reviens point madame, soyez sûre que vous serez à la tête des personnes que je regreteray.
De toutes les vérités que je cherche celle qui me paraît la plus sûre, c'est que vous avez une âme selon mon cœur, à laquelle je serai très tendrement attaché pour le peu de temps qui me reste.
J'ay conçu qu'il n'y avait de bon pour la vieillesse qu'une occupation dont on fût toujours sûr, et qui nous menât jusqu'au bout en nous empéchant de nous ronger nous mêmes.
Adieu madame, soyez sûr que le bord du lac Léman n'est pas l'endroit de la terre où vous êtes le moins chérie et respectée.
D'ailleurs monsieur, soyez sûre qu'il n'y a rien de plus ennuyeux, de plus fastidieux que tous ces Ecrits et tous leurs auteurs; des cyniques, des pédans, voilà les beaux Esprits d'aujourd'huy; votre nom ne devroit Jamais se trouver dans leurs querelles.
Je m'imagine que vous prenez la vie en patience ainsi que moi; je vous y exhorte de tout mon cœur; car il est si sûr que nous serons très heureux quand nous ne sentirons plus rien, qu'il n'y a point de philosophe qui n'embrasse cette belle idée si consolante, et si démontrée.
Si vous aimiez l'histoire, vous auriez un amusement sûr, pour le reste de vôtre vie; mais j'ai peur que l'histoire ne vous ennuie.
Oh vous la verrez j'en suis sûre, vous ne voudriez pas que je vous Eusse sollicitée en vain; elle a assés d'esprit pour être charmée de vous, et sûrement assés de vanité pour se faire un grand honneur de vous avoir vû.
20e fév: Dans le temps que ma Lettre allait partir, je reçois la vôtre du 13 fév: Soiez sûre que je vous écrirai toutes les fois qu'il me viendra des idées qui me paraîtront faittes pour vôtre belle imagination et pour la justesse de vôtre esprit, c'est à dire que je vous donnerai ces idées à rectifier, car autrement je ne serais pas si hardi.
Je l’ai ditte sans rien attendre de personne au monde; et soiez sûre que je ne demanderai jamais rien à personne, du moins pour moi; car je n’ai jusqu’icy demandé que pour les autres.
Soiez très sûre que si j'ai perdu tout ce qui fait vivre, passions, amusements, imagination, et toutes les bagatelles de ce monde, je vous reste sérieusement attaché, et que je le serai tant que mes petites apopléxies me le permettront; je vous regarderai comme la personne de mon siècle qui est le plus selon mon coeur et selon mon goût, suposé que j'aie encor goût et coeur.
Vous sçavez que peu de personnes en jouïssent; vous vous êtes accoutumée à vos privations; vous avez des amis; vous êtes sûre que quand on vient vous voir, c'est pour vous même; je regretterai toujours de n'avoir point cet honneur, et je vous serai attaché bien véritablement jusqu'au dernier moment de ma vie.
Mais soiez bien sûre que vous n’aurez de moi ni Morangiés, in Lalli, à moins que vous ne l’ordonniez positivement.
J’ai un petit avertissement à vous donner sur cet envoi que je vous fais, c’est qu’il n’est pas sûr que vous le receviez.
Je suis bien sûre qu'il fait cas des vôtres, il s'en servoit autrefois.
L'amusement est un remêde plus sûr, que toute la fermeté d'esprit.
Ne pensez pas que Je me porte mieux que Vous, mais Je ne suis pas asséz malade pour prévoir une fin prochaine, je vivray trop long tems si je dois survivre à mes amis, Je ferai tout vos compliment au président; sa santé n'est pas trop bonne, je lui porteray ce soir vos lettres qui le charmerons, elles réussiront en Angleterre J'en suis bien sûre.
Souvenez vous toujours Madame, que lorsque je cherche et que j'envoie ces bagatelles pour vous amuser, je vous conjure au nom de l'amitié dont vous m'honorez depuis si longtemps, de ne les confier qu'à des personnes dont vous soiez aussi sûres que de vous mêmes, et de ne pas prononcer mon nom.
Sur des principes sûrs mon esprit affermi, Content, persuadé, ne connait plus le doute, Des suittes de ma fin je n'ai jamais frémihttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180195_1key001cor/nts/009.
Soiez très sûre qu'il écrit beaucoup mieux que Lafontaine et qu'il est cent fois plus peintre qu'Homère, plus varié, plus guai, plus comique, plus intéressant, plus savant dans la connaissance du cœur humain que tous les romanciers ensemble, à commencer par l'histoire de Joseph et de la Putipharhttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180419b_1key001cor/nts/008, et à finir par Pamélahttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180419b_1key001cor/nts/009.
Sain, ou malade, clairvoyant ou aveugle, j'aurai toujours, madame, un cœur qui sera à vous, soiez en bien sûre.
Soiez très sûre, madame, que vos Lettres ont fait de mon envie extrême de vous revoir une très grande passion.
Si vous étiez assez heureuse pour savoir L'Italien, vous seriez sûre d'un bon mois de plaisir avec L'Arioste; vous vous pâmeriez de joie, vous verriez la poësie la plus élégante et la plus facile, qui orne sans éffort la plus féconde imagination dont la nature ait jamais fait présent à aucun homme.