ce 13 Juillet 1774 J'ay tardé à vous répondre mon cher Voltaire, parce que J'ay envoyé votre lettre à Chanteloup et que Je voulois pouvoir vous mander ce qu'on m'auroit répondu. […] répondit il, Je ne qu'opine point, Je laisse mes anciens qu'opiner les premiers, quand ils auront qu'opinés Je qu'opineray à mon tour.
La mort vient de me priver d'un vrai philosophe, dans le goût de mr De Formonthttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180255_1key001cor/nts/002; je vous réponds que vous l'auriez aimé de tout vôtre cœur. […] Vous ne m'avez rien répondu sur l'étrange Lettre du marquis de Belesta.
Mais, monsieur, vous auriés fait encore mieux de lui laisser ignorer L'offense; il y avoit plus de quatre mois que nous n'étions occupée qu'à lui dérober la connoissance de cette brochure, craignant l'effet qu'elle pourroit lui faire; vous avez détruit toute nos mesures; heureusement il n'en n'a pas été fort troublé; le Grand succès de son livre (qui lui est fort prouvé) lui a fait mépriser cette critique; il vous a répondu ainsy je n'ay point à vous apprendre ce qu'il pense; mais je vous dirai ce que pense le public. Personne ne croit que Mr. de Bellestat en soit l'auteur, on le connois pour un homme très borné, qui n'a ni esprit ni littérature, et ne sçait même pas Ecrire une lettre; on juge que cette ouvrage est de plus d'une plume; on y trouve du commun et du piquant; cette brochure n'a pas fait Grande fortune icy, et chacun pense qu'elle ne mérite pas qu'on la réfute et qu'on y réponde.
Elles doivent répondre, Nous le sommes, ou Nous ne le sommes pas. […] Vous devez répondre alors, Nous Les sommes, parce que vous devez indiquer ces personnes dont on vous parle.
Vous me répondrez comme une héroïne de Corneille à Flamminius, Le monde sous vos loix? […] Je lui ai répondu que maître Pâquier, l’oracle du parlement, les avait fait brûler par le boureau de son parlement.
ce Samedy 1er aoust 1772 J’attendois ce que vous m’aviés promis Monsieur pour répondre à votre dernière lettre, ne voulant pas vous donner l’ennuie de multiplier les miennes; mais ne Voilà t’il pas que vous me forcé à vous Ecrire, pour vous accabler de plainte et de reproche!
Elle n'a point répondu à une Lettrehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1130347_1key001cor/nts/006 qui méritait assurément une réponse, mais je m'intéresserai toujours à elle comme si elle répondait.
Il a auprès de vous une recomandation bien puissante, il est amy de mr Formont qui vous répondra de son esprit et de ses mœurs.
Adieu, monsieur, répondez moi incessament.
Cela vaut des infolios; il n’y a que la nature qui ait le pouvoir de leur répondre; elle sçaura bien arrêtter les progrès que pourroit faire leurs exemples.
http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1250230b_1key001cor/txt/001 Je vois que J'ay eu tort, que J'ay fait une demande indiscrète, que J'ay eû trop de familiarité avec le grand Voltaire, et pour m'apprendre mon devoir il m'a fait répondre par l'abbé Pellegrin.
Si je ne vous amuse pas, dumoins je ne vous ennuierai guêres, car je réponds en vingt pages à deux gros volumes.
Vous me mandez que vous vous Ennuyez, et moi Je vous réponds que J'enrage. […] C'est une chose unique dans l'histoire de ce monde, et Je vous réponds que cela ira loin.
Je me repents bien d'avoir répondu guaiement, et d'avoir tourné le tout en plaisanterie.
Vous voiez, Madame, que je réponds à tous les articles de vôtre Lettre. […] Voilà à quoi il a répondu par une épitre en vers!
Vous êtes le plus ingrat et le plus indigne des hommes si vous ne répondez point à L'amitié que J'ay pour vous et si vous ne vous faites pas une obligation et un plaisir d'avoir soin de mon amusement.
ce 30 7bre 1763 L'aveugle Dudeffand, au soi disant aveugle, mais très clair voyant Voltaire, Je ne vous diray point pourquoy J'ay tant tardé à vous répondre; si vous avez appris la mort de mad. de Luyneshttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1100422b_1key001cor/nts/001, vous avez dût deviner quelles étoient mes raisons; vous en faire le détail seroit un grand ennuy pour vous et une grande fatigue pour moi.
D'Enville avant d'y répondre; (Je ne pouvois Jamais aussi bien plaider que vous).
Ce 8 février 1775 Plusieurs circonstances Monsieur, m'ont fait différer de vous répondre; Je n'ay pu voir Mad.
Vous voulez qu'on vous donne des thèmes pour vous engager à répondre, en voilà de fort beaux.
Dites moi Je vous prie pourquoy vous ne répondez Jamais à ce que Je vous Ecris?
que je n'aie point répondu à une de vos lettres!
Je compte sur la vôtre en vous répondant de la mienne, c’est ce qui fait ma consolation dans mes neiges et dans mes souffrances.
Votre dernière lettrehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1110267_1key001cor/nts/001 m'a ravie, mais elle m'a ôté le courage d'y répondre.
Je vous réponds de sa conduite et de sa fidélité.
Votre Correspondance avec ma grand maman Gargantua me ravit; elle vous répond à ce qu'il y a de sollide, c'est ce qui doit luy appartenir; pour moy je ne suis que pour le frivole, Je ne vois point dans l'histoire des souliershttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1190251_1key001cor/txt/001, l'Etablissemens des Manufactures, Je n'y vois qu'un très beau sujet de conte de fées, qui pouroit surpasser Cendrillon; Voilà Monsieur, les progrès de mon esprit et de ma raison qui au bout de soixante et mille ans que J'ay vécû me mettent à Côté des enfans de quatre ans; ah!
Ecrivez moi donc, mais que ce soit avec confiance, et comme à quelqu’un sur qui vous comptez, dont le goût n’est pas entierrement perdû; répondez aux questions que je vous fais.
Ce mardy 9e may 1775 Vous avés si exactement répondu à toutes Les articles de ma dernière lettre, que cela m'encourage mon cher Voltaire, à vous Ecrire; on n'aime à parler que quant on est écouté.